Mars 2016

Plus de 21 000 sites en service  pour la 4G  au 1er mars 2016

Au 1er mars 2016, 23 845 sites sont autorisés, dont 21 013 en service, pour la téléphonie mobile très  haut débit (4G) tous opérateurs confondus. 

Les autorisations de sites 4G accordées au cours du mois dernier sont en hausse de 2,3 % par rapport au 1er février.

  • 15 034 sites  sont autorisés pour la 4G dans la bande 800 MHz (+ 4,3 % sur un mois). 
  • 9 678 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 1 800 MHz (+ 5,6% sur un mois). 
  • 16 757 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 2,6 GHz (+ 1,8 % sur un mois).

Le bilan des sites 4G mis en service en métropole s’établit comme suit : 

  1. Orange (8 612 sites)
  2. Bouygues Telecom (7 303 sites)
  3. Free Mobile (5 991 sites)
  4. Numericable-SFR (4 951 sites)

Au 1er mars, sept départements ont représenté près de 25 % du volume total des nouvelles autorisations 4G en métropole : la Saône-et-Loire, la Seine Saint-Denis, l’Isère, la Marne, la Drôme, les Landes et les Yvelines.

Pour en savoir plus : 

Observatoire des déploiements 4G National

Observatoire des déploiements 4G Outre-Mer

Observatoire des déploiements 3G National

Observatoire des déploiements 3G Outre-Mer

Observatoire des déploiements 2G National

Observatoire des déploiements 2G Outre-Mer

Pour la 2G, la 3G et la 4G, l’Observatoire indique le nombre d’antennes-relais qui ont reçu un accord de l’ANFR ainsi que le nombre d’antennes que les opérateurs ont déclarées en service auprès de l’Agence (après avoir obtenu un accord de l’ANFR, un opérateur doit mettre son installation en service sous 18 mois s’il ne veut pas perdre le bénéfice de cet accord). L’Observatoire recense ces informations pour chaque opérateur de réseau mobile : Bouygues Télécom, Free Mobile, Orange et SFR.

Une distinction est faite en fonction de la bande de fréquence utilisée par l’installation radioélectrique :

  • Pour la 2G : entre GSM 900 MHz et GSM 1 800 MHz ;
  • Pour la 3G : entre UMTS 900 MHz et UMTS 2 100 MHz ;
  • Pour la 4G : entre les bandes 800 MHz, 1 800 MHz (refarming) et 2 600 MHz.

L’Observatoire comporte enfin, pour chaque type de service (2G, 3G et 4G) et par bande de fréquences, le nombre de supports autorisés.

Exemple : sur un pylône sont installées une antenne-relais de SFR et une antenne-relais de Bouygues Télécom. Le service est de l’UMTS 2 100 pour chaque opérateur. Ce cas sera compté comme suit : « +1 » dans la colonne UMTS 2 100 pour SFR et « +1 » dans la colonne UMTS 2 100 pour Bouygues Télécom. En revanche, il ne comptera que comme un unique support supplémentaire.

Les colonnes « Accord ANFR » décomptent tous les accords d’implantation délivrés par l’ANFR au 1er du mois considéré, déduction faite des abandons qui ont pu avoir lieu. Les sites qui font l’objet d’une simple déclaration, c’est-à-dire ceux qui présentent une puissance inférieure à 5W, ne sont pas comptabilisés.