Août 2016

Près de 27 500 sites autorisés pour la 4G au 1er août 2016

Au 1er août 2016, 27 461 sites sont autorisés, dont 23 496 en service, pour la téléphonie mobile très haut débit (4G) tous opérateurs confondus.

Les autorisations de sites 4G accordées au cours du mois dernier sont en hausse de 3,2 % par rapport au total du mois dernier.

  • 18 865 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 800 MHz (+ 4% sur un mois).
  • 13 321 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 1 800 MHz (+ 5,8% sur un mois).
  • 18 584 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 2,6 GHz (+ 3 % sur un mois).
  • 170 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 700 MHz,(+ 41,7% sur un mois) disponible dans certaines zones depuis le 6 avril dernier pour le déploiement du très haut débit mobile.

Le bilan des sites 4G mis en service en métropole s’établit comme suit :

  1. Orange (9 157 sites, + 169 en juillet)
  2. Bouygues Telecom (8 710 sites, + 364 en juillet)
  3. Numericable - SFR (7 087 sites, + 259 en juillet)
  4. Free Mobile (6 670 sites, + 99 en juillet)

L’observatoire s’enrichit ce mois-ci d’un nouveau graphique qui permet d’indiquer dans quelles proportions chaque opérateur utilise ces bandes de fréquences pour fournir le service 4G (visible dans la page 19 du document "résultats et graphiques au niveau national").

Pour en savoir plus :

Observatoire des déploiements 4G National

Observatoire des déploiements 4G Outre-Mer

Variation des supports sur le mois passé (juin) au niveau national

Variation des supports sur le mois passé (juin) en Outre-Mer

Observatoire des déploiements 3G National

Observatoire des déploiements 3G Outre-Mer

Observatoire des déploiements 2G National

Observatoire des déploiements 2G Outre-Mer

Pour la 2G, la 3G et la 4G, l’Observatoire indique le nombre d’antennes-relais qui ont reçu un accord de l’ANFR ainsi que le nombre d’antennes que les opérateurs ont déclarées en service auprès de l’Agence (après avoir obtenu un accord de l’ANFR, un opérateur doit mettre son installation en service sous 18 mois s’il ne veut pas perdre le bénéfice de cet accord). L’Observatoire recense ces informations pour chaque opérateur de réseau mobile : Bouygues Télécom, Free Mobile, Orange et SFR.

Une distinction est faite en fonction de la bande de fréquence utilisée par l’installation radioélectrique :

  • Pour la 2G : entre GSM 900 MHz et GSM 1 800 MHz ;
  • Pour la 3G : entre UMTS 900 MHz et UMTS 2 100 MHz ;
  • Pour la 4G : entre les bandes 800 MHz, 1 800 MHz (refarming) et 2 600 MHz.

L’Observatoire comporte enfin, pour chaque type de service (2G, 3G et 4G) et par bande de fréquences, le nombre de supports autorisés.

Exemple : sur un pylône sont installées une antenne-relais de SFR et une antenne-relais de Bouygues Télécom. Le service est de l’UMTS 2 100 pour chaque opérateur. Ce cas sera compté comme suit : « +1 » dans la colonne UMTS 2 100 pour SFR et « +1 » dans la colonne UMTS 2 100 pour Bouygues Télécom. En revanche, il ne comptera que comme un unique support supplémentaire.

Les colonnes « Accord ANFR » décomptent tous les accords d’implantation délivrés par l’ANFR au 1er du mois considéré, déduction faite des abandons qui ont pu avoir lieu. Les sites qui font l’objet d’une simple déclaration, c’est-à-dire ceux qui présentent une puissance inférieure à 5W, ne sont pas comptabilisés.